L'illusion climatique

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mercredi, mars 4 2015

Necessaire rectification

La nécessaire rectification des experts du Giec.

La chaleur que le rayonnement solaire procure par absorption au niveau du sol n'y reste pas localisée. En effet, la Terre possède une atmosphère qui la redistribue à l'ensemble de la planète. Cette particularité fait que la différence de température entre les parties éclairées et celles qui sont dans l'ombre (le jour et la nuit) reste assez faible. Sur une Lune dépourvue d'atmosphère par contre les écarts sont considérables: les astronomes sont obligés de tourner régulièrement sur eux-mêmes pour répartir cette chaleur solaire. Ainsi l'énergie solaire reçue en moyenne chaque jour est mesurée à 240W/m2 environ. Par 24 heures, elle est donc de moitié seulement soit 120W/m2 ce qui correspond d'après la loi de Stefan à une température de -56,5°C: cette température est celle du sol d'une Terre où il n'y aurait pas d'effet de serre.

bilan energetique terrestre

La chaleur que le rayonnement solaire procure par absorption au niveau du sol n'y reste pas localisée. En effet, la Terre possède une atmosphère qui la redistribue à l'ensemble de la planète. Cette particularité fait que la différence de température entre les parties éclairées et celles qui sont dans l'ombre (le jour et la nuit) reste assez faible. Sur une Lune dépourvue d'atmosphère par contre les écarts sont considérables: les astronomes sont obligés de tourner régulièrement sur eux-mêmes pour répartir cette chaleur solaire. Ainsi l'énergie solaire reçue en moyenne chaque jour est mesurée à 240W/m2 environ. Par 24 heures, elle est donc de moitié seulement soit 120W/m2 ce qui correspond d'après la loi de Stefan à une température de -56,5°C: cette température est celle du sol d'une Terre où il n'y aurait pas d'effet de serre.

L'effet de serre se produit car la tropopause joue le rôle d'un filtre diffusant qui ne laisse pas passer les rayonnements IR qui transportent la chaleur. Il se produit alors un échange de rayonnement IR (en vert) qui ne donne aucun échange de chaleur entre le sol et la tropopause. Pour alimenter le rayonnement de la tropopause vers le ciel, il faut lui fournir de la chaleur par un phénomène de distillation à reflux infini qui provoque un transfert de chaleur du sol (bouilleur) vers la tropopause (condenseur). Cette chaleur de condensation est fournie par la solidification du dioxyde de carbone, ce qui détermine la température constante de -56,5°C observée qui correspond à celle de la sublimation du CO2. On constate dans ce bilan que le sol reçoit deux fois un flux de 120W/m2 ce qui constitue l'effet de serre et correspond par la loi de Stefan à une température de -18°C. L'isolation du sol par les gaz de la troposphère provoque un effet de four de la même façon que la température d'un foyer augmente quant on l'entoure de plaques isolantes. C'est ce même phénomène qui est utilisé pour calorifuger une habitation. Dans une colonne à distiller en reflux infini et adiabatique, la chaleur récupérée dans le condenseur est rigoureusement égale à celle injectée dans le bouilleur. La température variable du sol terrestre fait varier la chaleur fournie au bouilleur, mais cet excès passe dans la troposphère sous forme de pertes et provoque ainsi l'augmentation de la température observée dans la troposphère . C'est une cause partielle du réchauffement climatique. Pour compléter ce bilan il convient de remarquer que la stratosphère capte une partie du rayonnement solaire qu'elle renvoie vers le Soleil créant ainsi un effet parasol. La formation d'ozone à partir de l'oxygène absorbe de la chaleur qui restituée lors de sa décomposition est renvoyée vers le Soleil. D'autres gaz introduits par l'homme pourraient aussi jouer ce rôle de protection de la Terre.

Dans le vide, la température d'une surface ne dépend que de l'énergie radiative qu'elle reçoit: c'est la loi de Stefan. Le Giec affirme donc qu'avec une moyenne énergétique solaire de 240W/m2 la température « spontanée » du sol doit être de -18°C. Ceci est un contre-sens qui se doit d'être rectifié : la présence d'une atmosphère répartit cette énergie sur toute la Terre et l'énergie reçue le jour est diffusée vers l'espace aussi bien le jour que la nuit ! Il faut donc utiliser une énergie divisée par 2 soit 120W/m2 pour obtenir la température de -56,5°C qui serait celle du sol dans le vide. La température de -18°C proposée par le Giec n'est pas celle de la troposphère.. Pour combler cet écart le Giec imagine un effet de serre alors qu'il s'agit d'un effet de four. En fait, un effet serre provoquerait un doublement de l'énergie reçue par le sol: soit 480W/m2 ce qui selon la loi de Stefan correspond à une température d'environ +30°C. C'est très au- dessus des 15°C mesurés. Pour justifier cet écart, le Giec imagine l'existence d'un hypothétique effet de serre qu'auraient certains gaz atmosphériques en sélectionnant des gaz absorbant particulièrement bien les IR. Ce biais cognitif justifie alors son paradigme erroné et fait de la lutte contre le CO2 la priorité de son action. L'effet de serre de certains gaz n'existe pas et ne provoque aucun réchauffement du climat. C'est la version moderne de l'histoire de Don Quichotte qui se battait inutilement contre des moulins à vent qu'il prenait pour des géants. Il serait temps, si on veut être efficace pour lutter contre le réchauffement climatique de comprendre que c'est l'énergie d'origine non solaire que l'homme a injecté et injecte toujours dans la troposphère pour ses besoins énergétiques qui est la cause principale du réchauffement observé.

Finalement, la planète se réchauffe parce que l'homme s'est mis à la réchauffer en utilisant des énergies non naturelles qui ne sont pas issues du rayonnement solaire.

jeudi, novembre 27 2014

Stoppons le réchauffement

Stoppons le réchauffement climatique.

Les dirigeants politiques du monde entier se réunissent régulièrement pour s'entendre à lutter contre le réchauffement climatique malheureusement constaté, qui est bien consécutif à l'action de l'homme. Ces discussions de chiffonniers sont hélas aussi justifiées que les guerres picrocholines de Rabelais ou celles de Gullivers à Liliput pour savoir comment on doit manger un œuf. Ce blog vous donne une analyse différente du réchauffement de la planète qui montre que l'explication du GIEC n'est qu'une baliverne qu'on essaye de vous faire croire et qui n'a aucun rapport avec la réalité car en contradiction avec les lois de la physique (le 2ème principe de la thermodynamique et l'effet de serre). C'est tant mieux car en changeant de paradigme, il devient possible de lutter efficacement contre le réchauffement, ce que ne montre pas l'état actuel des démarches entreprises à partir des affirmations du GIEC. Ce réchauffement est dû à l'accumulation dans la troposphère de la chaleur issue de la combustion des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) et/ou de la fission de l'atome réalisée dans les centrales nucléaires. En effet, les pertes en énergie de la Terre sont stables et limitées à 120W/m2 par la température constante de la tropopause (-56,5°C). Depuis des millions d'années, un équilibre approximatif entre l'apport radiatif du Soleil et ces pertes stables a abouti aux températures observées. Pour conserver cet équilibre, il convient que l'homme ne tire les énergies dont il a besoin que des rayons solaires. Il se doit d'imiter la végétation qui se nourrit grâce à l'énergie de la lumière (la photosynthèse) et rejette celle-ci lors de sa mort (reformation du dioxyde de carbone). Ce dioxyde de carbone est du « bon » dioxyde inoffensif pour le réchauffement contrairement à celui rejeté par la combustion des énergies fossiles. Quelle que soit son origine, son augmentation dans l'air ne fait que favoriser la croissance végétale naturelle et n'est pas une menace comme certains le croient en voulant l'enterrer définitivement (merci le GIEC). Les technologies modernes en plein développement permettent d'envisager des énergies uniquement issues du Soleil suffisantes pour nos besoin industriels sans aucune restriction définitive sur leurs quantités: le photovoltaïque (à améliorer), l'énergie éolienne ou hydrolienne (comme nos ancêtres), la transformation des plantes (à diversifier) ou même la dissociation solaire de l'eau (possible mais pas encore vraiment inventée à grande échelle) ... Si ces mesures peuvent ralentir et même stopper le réchauffement de la Terre, elles ne permettent pas de nous faire revenir en arrière comme le propose la solution qui va être développée ci-après . Nous avons vu que la tropopause constituait une séparation thermique entre la troposphère chauffée par le bas et la stratosphère chauffée par le haut. Cette séparation n'est pratiquement pas franchissable par l'énergie sauf sous la forme des radiations du corps noir limitées à 120W/m2. Si on capte dans la stratosphère l'énergie radiative du soleil sous forme de chaleur, celle-ci cessera de chauffer le sol et donc la troposphère refroidira. On crée ainsi un bouclier thermique qui renvoie son rayonnement au soleil avant qu'il n'atteigne le sol. On peut facilement obtenir ce résultat par un moyen simple et réalisable, loin des extravagances d'un parasol matériel lancé par des fusées. La malheureuse expérience du trou dans la couche d'ozone est riche d'enseignements. D'abord, les chlorofluorocarbones (CFC) vont facilement dans la stratosphère grâce à leur faible point d'ébullition : l'effet de distillation dans la troposphère les y conduit naturellement. Ils ont efficacement détérioré la couche d'ozone mais leur interdiction montre qu'une réapparition de l'ozone est possible. En utilisant les hydrofluorocarbones (HFC) comme CF4 dont les caractéristiques physiques sont proches mais chimiques différentes , on évite une destruction de l'ozone car la liaison C-F est la plus forte de toutes celles possibles dans cet environnement. En envoyant de n'importe où des HFC dans l'air, on introduit dans la stratosphère un gaz absorbant les rayons IR du soleil et donc un bouclier thermique efficace. La stabilité de ces molécules est de plusieurs millénaires et le seul danger semble être de ne pas en envoyer trop. La quantité nécessaire peut être évaluée par un suivi de mesures, mais de toute façon, l'effet sera long à réaliser et il convient d'en commencer rapidement l'exécution. La vision du réchauffement climatique par le GIEC est pessimiste mais cependant en deçà de la réalité qui nous attend si nous poursuivons dans les voies erronées de son analyse. Une explication alternative plus scientifique vous est proposée dans ce blog. Après lecture , un journaliste compétent a le devoir de la communiquer à son public. S'il ne le fait pas, quelles qu'en soient les raisons, il méritera pleinement l'opprobre que l'avenir lui décernera.

PS. Si vous partagez les idées de ce blog, faites-le moi savoir car cela m'encouragera à les divulguer.

mercredi, novembre 19 2014

Les erreurs du GIEC

Les erreurs climatiques du GIEC

En 1988 a été créé un groupe d'experts internationaux chargé d'étudier le réchauffement climatique : le GIEC (IPPC en anglais) : Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Son analyse a conduit à une explication du réchauffement climatique par l'action de gaz à effet de serre dont toute personne est aujourd'hui convaincue grâce à une répercussion journalistique digne d'un « matraquage intellectuel mondial ». Pourtant, malgré son succès, cette théorie est erronée car en contradiction , entre autre, avec le deuxième principe de la thermodynamique qui affirme que la chaleur se propage toujours spontanément du chaud vers le froid (Clausius 1850). Des gaz « à effet de serre » dont le dioxyde de carbone sont brutalement arrivés dans l'air par l'activité humaine récente et l'augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l'atmosphère depuis le milieu du XIXème siècle est incontestable et considérable. Selon le GIEC, le rayonnement IR du sol chauffé par le soleil serait capté par ces gaz et transformé en chaleur dans la troposphère, ce qui provoquerait le réchauffement climatique de la planète. De doctes calculs ont donc été effectués pour lier la concentration en gaz carbonique au réchauffement climatique observé. Aujourd'hui déjà, la réalité du réchauffement est plus importante que celle calculée et cette différence est attribuée à l'incertitude des calculs (jusqu'à quand ?). En fait, ces calculs sont faux car ne correspondant pas à la réalité du phénomène. Depuis très longtemps, la Terre système fermé (sans échange de matière avec le vide intersidéral) n'obtient son énergie vitale que par la puissance énergétique du rayonnement solaire qui l'éclaire. Un équilibre thermique se réalise entre la puissance lumineuse reçue et celle dissipée dans l'espace. Compte tenu des raisons astrologiques qui gouvernent l'énergie solaire reçue par la Terre, cet équilibre est légèrement modifié dans le temps. Si on suppose une perte constante en énergie rayonnée par la planète, c'est l'explication des variations du climat terrestre selon les périodes géologiques. L'homme moderne a fortement perturbé cet équilibre en injectant dans l'atmosphère une énergie calorifique non issue du rayonnement solaire: principalement les énergies fossiles et la chaleur due aux fissions nucléaires. Cet apport brutal de chaleur exogène depuis la moitié du XIXème siècle s'est fait de façon cumulative et a provoqué les augmentations de température observées. Avant l'invention de l'énergie nucléaire, la combustion des énergies fossiles produisait simultanément de la chaleur et du dioxyde de carbone, faisant ainsi croire aux esprits qui n'approfondissent pas leurs idées, qu'il y avait un lien de cause à effet entre ces deux constatations , alors qu'en fait, elles n'étaient que l'expression d'un même phénomène mesuré par deux moyens différents d'où leur corrélation certaine. Avec le nucléaire, la donne a changé et le réchauffement s 'est encore accéléré. Les stériles discussions entre la part du charbon et celle du nucléaire dans la production d'énergie sont inutiles car d'un point de vue réchauffement climatique, c'est « du pareil au même ». Le comble de l'inconscience revient à ceux qui enterrent le dioxyde de carbone à grands frais énergétiques, croyant ainsi comme un enfant qui à cassé un vase, qu'en cachant les morceaux on supprime les dégâts alors qu'en fait on les renforce. Les deux arguments décisifs qui rendent l'explication du GIEC impossible sont les suivants. En premier, la chaleur produite dans la troposphère par la transformation de l'énergie radiative IR issue du sol, compte tenu de la diminution de la température quand l'altitude augmente, ne peut que s'élever et non pas retourner vers un sol plus chaud pour produire un effet de serre (2ème principe de la thermodynamique ). Ce raisonnement est valable quelle que soit l'altitude où la chaleur est créée, jusqu'à ce qu'on atteigne la tropopause où la température devient constante. Cette tropopause constitue alors cet écran de matière nécessaire à l'effet de serre et renvoie vers le sol l'énergie IR correspondant à sa température de -56,5°C (120W/m2). Le deuxième argument concerne ce qui est appelé l'effet de serre par le GIEC. Des mesures complexes effectuées sur toute la Terre ont montré qu'une énergie solaire de 245 W/m2 en moyenne était reçue par le sol: cela correspond à une température du corps noir de -18°C. Comme ce n'est manifestement pas la valeur observée dans la réalité, il a été décidé sans aucun autre argument scientifique, que l'effet de serre serait la cause de cette différence. Cette affirmation sans aucune justification scientifique aurait été soupçonnée à une autre époque plus crédule d'être un « miracle » permettant la vie sur terre. En fait ce réchauffement inattendu est lié à l'effet de four provoqué par l'atmosphère qui calorifuge la chaleur issue du sol. En effet, l'atmosphère terrestre ralentit le transfert de la chaleur vers l'espace (conduction, convection, distillation) et provoque une augmentation supplémentaire de la température du sol. Ce phénomène est analogue à celui utilisé pour la conception d'un four: la source de chaleur est environnée de matériaux isolants freinant la propagation de la chaleur vers l'extérieur et augmentant ainsi la température à l'intérieur du four. L'explication du réchauffement climatique par des effets dus à des gaz de serre est donc une imposture scientifique. Une explication compatible avec les lois scientifiques connues et plus performante pour expliquer la réalité observée (température de la tropopause) vous est expliquée par l'intermédiaire de ces billets. La faire connaître et la partager devient un devoir pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique qui nous menace tous.

dimanche, novembre 16 2014

La tropopause

La tropopause.

L'atmosphère est composée de plusieurs couches superposées aux propriétés différentes qui sont définies dans le diagramme ci-joint. La tropopause est une couche située entre la troposphère et la stratosphère (11 à 15 kms d'altitude) dont la température est constante et égale à -56;5°C. Cette couche se comporte comme un vrai corps noir car seul son rayonnement peut altérer sa température: sans écart de température, les phénomènes de conduction et de convection y sont impossibles et seul un rayonnement émis par un corps plus chaud peut augmenter sa température en lui fournissant de la chaleur rayonnée. La tropopause Cette tropopause isole donc thermiquement la troposphère chauffée par le bas avec la chaleur issue du sol et la stratosphère chauffée par le haut grâce aux radiations venant du soleil. Les phénomènes de convection ne se produisent que dans la troposphère car la chaleur va du sol plus chaud à la tropopause plus froide à l'encontre de la pesanteur dirigée vers le bas : il se crée ainsi un phénomène analogue au processus de distillation à reflux infini. Ces remous provoquent les aléas météorologiques que nous observons au niveau du sol (pluies, cyclones, vents, tempêtes...). La stratosphère chauffée par le haut et seulement soumise au phénomène de conduction est beaucoup plus calme et très stable. Seule une absorption de l'énergie des rayons solaires par l' oxygène y crée par réaction chimique une couche d'ozone assez stable qui protège ainsi partiellement le sol des rayons UV nocifs à la vie. Lorsque l'ozone se retransforme en oxygène, cette énergie est libérée sous forme de chaleur, réchauffant ainsi la stratosphère par le haut. Toute autre molécule suffisamment stable dans ces conditions environnementales peut ainsi transformer une énergie radiative en une chaleur qui demeurera dans la stratosphère. La tropopause est un corps noir qui rayonne dans toutes les directions une énergie radiative donnée par la loi de Stefan-Boltzmann à -56,5 °C et qui vaut 120W/m2. Cette région qui possède le minimum de température se trouvant dans l'atmosphère limite donc la valeur du rayonnement transmissible dans l'espace. Cette température est donc celle qu'aurait la surface du sol si le rayonnement solaire était la seule cause de chauffage. La tropopause est donc le « sol » fictif de la planète. Un effet de serre produit par ce sol fictif qui rayonne dans toutes les directions provoque au niveau du sol réel un besoin en énergie double de celle rayonnée et qui est donc égale à 240W/m2. La température correspondante à cette énergie est de -18°C. L'effet de serre provoque donc un réchauffement égal à la différence de ces deux températures c'est à dire +38,5°C. Cette valeur sera stable tant que la température de la tropopause ne variera pas. Quand on mesure l'énergie solaire reçue au sol quelle que soit la saison, la latitude et les autres paramètres, on admet une valeur moyenne de 245W/m2. En tenant compte du fait que cette moyenne corresponde au temps d'ensoleillement et que le soleil ne brille pas la moitié du temps (la nuit), cela correspond au 120W/m2 émit en continu par la tropopause. Il y a donc un quasi-équilibre entre les chaleurs gagnées et perdues par la Terre si son chauffage est seulement dérivé de l'énergie solaire. Les variations observées en fonction des millénaires ne peuvent donc être dues qu'à des variations de l'ensoleillement et relèvent des conditions astronomiques. Comment peut t-on expliquer la température précise et stable de la tropopause à -56,5°C ? Elle correspond exactement à la température de condensation du dioxyde de carbone. Ce rapprochement des températures semble méconnu des climatologues car aucun ouvrage ou publication ne l'évoque. Il serait exagéré de parler de découverte mais cela permet de comprendre d'où vient l'énergie rayonnée par la tropopause alors qu'aucune énergie ne peut y parvenir par conduction, convection ni même rayonnement d'un corps noir plus chaud (car vraisemblablement absorbé avant d'y arriver). En effet la chaleur de condensation du dioxyde de carbone résout facilement ce problème. Les cristaux de carboglace ainsi formés descendent dans l'air car plus denses et se ré-évaporent bien avant de toucher le sol entrant ainsi dans le processus de distillation à reflux infini de la troposphère. Pour obtenir la température observée au niveau du sol, il faut ajouter à l'effet de serre un effet de four du au rôle de calorifugeage que joue l'atmosphère. Comme dans un four où la production de chaleur est constante, le fait de l'entourer par une paroi isolante augmente sa température interne sans aucun ajout de chaleur supplémentaire.

mardi, novembre 11 2014

Principes de thermodynamique

Principes de la thermodynamique

Au XVIIIème siècle déjà, Bernoulli énonça les lois de l'hydrodynamique d'un fluide parfait où il constatait que l'énergie mécanique du fluide en mouvement changeait de forme mais se conservait (théorème de Bernoulli.). Au XIXème siècle, une théorie thermodynamique fut élaborée pour comprendre et justifier les transformations en différentes formes de l'énergie mécanique et thermique. La première constatation (premier principe) dit qu'au cours de sa transformation, l'énergie se conserve car il existe un principe d'équivalence qui, à l'aide d'un coefficient constant, permet de convertir une forme d'énergie en une autre. C'est Joule qui montra que pour transformer l'énergie mécanique en chaleur il faut 4,185 J pour une petite calorie. Toutes les nouvelles énergies découvertes depuis ont validé ce principe, de la constance de Planck pour l'énergie rayonnante à la célèbre relation d'Einstein E=mc2 pour la matière.

 		Le deuxième problème à résoudre était de savoir quelles étaient les transformations énergétiques possibles et celles ne pouvant pas se produire . Clausius en 1850 montra que la constatation du fait expérimental d'un passage spontané de la chaleur d'un corps chaud à un corps froid pouvait se justifier grâce à une nouvelle grandeur thermodynamique qu'il nomma Entropie de symbole S. Dans un système fermé où il n'y a ni échange de matière et d'énergie mécanique ou calorique avec l'extérieur, la variation d'entropie , ΔS =   ΔQ/T   entre un état initial et un état final   ne peut être que positive ou nulle à la rigueur.  Ainsi pour une même variation de chaleur ΔQ l' entropie est plus faible dans un corps chaud (T est plus grand) que dans un corps froid (T est plus faible):  le passage de chaleur du chaud vers le froid est donc une augmentation d'entropie. Le système évolue vers un équilibre où l'entropie est la même partout. C'est Boltzman qui à la fin du XIXème siècle associa  cette tendance  à la notion d'ordre S = k ln Ώ où  Ώ est le nombre d'états analogues mais  différents, équiprobables. Le désordre tend à être spontanément le plus grand Cette notion d'entropie est délicate à comprendre mais permet de savoir ce qui peut se faire spontanément et ce qui ne peut se faire qu'avec un apport énergétique extérieur. Ainsi le travail se transforme spontanément en chaleur dans tous les systèmes de freinage énergétiquement isolés mais a besoin d'un apport énergétique extérieur dans la transformation inverse (chaleur en travail) qui nécessite l'utilisation d'au moins deux sources de chaleur à deux températures différentes. Ainsi, la chaleur passe spontanément du corps le plus chaud vers le plus froid mais le passage inverse (réfrigérateur) nécessite l'utilisation d'un « moteur » pour fournir l'énergie nécessaire à la diminution de l'entropie.

Cette notion d'entropie à été généralisée pour les systèmes non fermés avec les notions d'énergie libre par Helmholtz (volume constant) et d'enthalpie libre par Gibbs (pression constante) . Ainsi apparaît la notion de potentiel chimique comme critère d'évolution et d'équilibre des réactions chimiques. Le troisième principe consiste à supposer qu'au zéro degré absolu (-273,15°C), l'entropie de tout corps est nulle. Ainsi se créent les échelles thermodynamiques des températures : degré Kelvin ou Rankine. Il devient alors possible de calculer l'entropie de tout système car l'entropie qui est une fonction d'état ne dépend que de l'état initial et final.

mardi, octobre 28 2014

Ce qui est vu

Ce qui est vu.

Voir est si évident qu'on croit que le monde qui nous entoure correspond à ce que l'on voit. Rien n'est plus faux si on applique les lois reconnues de la physique. En effet toute matière est un corps noir qui rayonne en fonction de la température absolue de sa surface. Dans ces conditions, tout corps à une température inférieure à la sienne est invisible car masqué par notre propre rayonnement. On ne peut voir que les corps plus chauds que soi, c 'est à dire environ 37°C. A part quelques sources lumineuses, la plupart des objets qui nous entourent sont donc invisibles. Et pourtant on les voit quand même ! On les voit parce qu'ils sont éclairés par des sources à une température supérieure à la nôtre et que ces ondes électromagnétiques (lumière) sont plus ou moins réfléchies à leur surface. Si la réflexion est parfaite, on observe la température de couleur de la source (loi de Wien), sinon une couleur différente qui correspond aux conditions de réflexion ou de transmission du corps observé. Cette analyse est facilement confirmée par le fait que sans lumière, on ne voit rien (évident) et qu'on peut créer des images sur une surface blanche simplement par son éclairage (cinéma). Qu'en est-il des objets qui nous apparaissent colorés à température ordinaire quand ils sont éclairés par la lumière du jour ? Ce sont avant tout des corps noirs qui rayonnent à leur température absolue, c'est à dire dans l'IR non visible avec une faible intensité lumineuse (loi de Stefan-Boltzmann). La lumière du jour bien plus chaude et d'une bien plus grande intensité y est alors absorbée ou réfléchie en fonction des molécules qui les composent. Un objet vert réfléchit le vert et absorbe le rouge qui est la couleur complémentaire. Si on l'éclaire en lumière rouge, il paraîtra noir car il absorbera la lumière en totalité , ne pouvant réémettre du vert qu'il ne reçoit pas. Éclairé en lumière verte il paraîtra vert car c'est sa seule réflexion possible.

dimanche, octobre 5 2014

L'illusion climatique

Aujourd'hui tout le monde est convaincu que le réchauffement du climat est une menace pour l'avenir de l'humanité. Tout doit donc être entrepris pour ralentir cette évolution qui est attribuée à l'activité des hommes. C'est pourquoi de nombreuses réunions internationales sont régulièrement organisées pour en débattre. En médecine, pour avoir l'espoir de guérir un malade, il faut d'abord s'assurer qu'on pose le bon diagnostic. Il en est de même pour le climat. Ce blog est destiné à montrer que l'analyse actuelle du GIEC, c'est à dire que l'origine du réchauffement climatique est dû aux gaz à effet de serre, est une fausse affirmation car contraire au second principe de la thermodynamique énoncé par Clausius en 1850 et toujours vérifié depuis; Une autre explication à ce réchauffement qui respecte les lois de la physique, y compris ce second principe est possible: ce blog veut vous la faire connaître. Vous la trouverez dans les publications en archives ouvertes sur le site hal avec les références: [http://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01060007 ] et [ http://hal.archives-ouvertes.fr/hal00943666 ]. Une ébauche plus compréhensible de cette explication est aussi accessible sur Amazon. Pour en débattre ensemble, je vous encourage à me faire part de vos avis sur ce blog pour entamer une discussion.

samedi, octobre 4 2014

Le corps noir

Le corps noir

Toute matière constitue un corps noir. Ses propriétés immuables ont été définies par Stefan et modèlisées par Bolzmann à la fin du XIXème siècle. Il émet spontanément dans toutes les directions un rayonnement électromagnétique dont les caractèristisques ne dépendent que de la température absolue de sa surface. Quand sa température absolue augmente la nouvelle courbe de rayonnement a la même allure et englobe totalement la précedente. L'énergie équivalente à ce rayonnement a été donnée par Planck grâce à sa théorie des quanta : W=hν. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Corps_noir) Dans le vide, deux corps noirs échangent ainsi leurs radiations jusqu'à égalité de leur température externe. La chaleur transmise par le rayonnement circule donc du corps le plus chaud vers le plus froid jusqu'à l'équilibre thermique, ce qui rend le transfert équilibré et donc sans effet visible sur la température. Si on veut rendre ce transfert permanent, il faut par un moyen externe faire en sorte qu'une différence de température se maintienne: on chauffe le corps chaud qui perd son énergie ou/et on refroidit le corps froid qui gagne en énergie. Ce phénomène radiatif ne crée aucune chaleur lors de sa propagation dans le vide et ne peut disparaître que par absorption dans la matière. Sinon , il est transmis ou réfréchi/réfracté sans altération énergétique.