Stoppons le réchauffement climatique.

Les dirigeants politiques du monde entier se réunissent régulièrement pour s'entendre à lutter contre le réchauffement climatique malheureusement constaté, qui est bien consécutif à l'action de l'homme. Ces discussions de chiffonniers sont hélas aussi justifiées que les guerres picrocholines de Rabelais ou celles de Gullivers à Liliput pour savoir comment on doit manger un œuf. Ce blog vous donne une analyse différente du réchauffement de la planète qui montre que l'explication du GIEC n'est qu'une baliverne qu'on essaye de vous faire croire et qui n'a aucun rapport avec la réalité car en contradiction avec les lois de la physique (le 2ème principe de la thermodynamique et l'effet de serre). C'est tant mieux car en changeant de paradigme, il devient possible de lutter efficacement contre le réchauffement, ce que ne montre pas l'état actuel des démarches entreprises à partir des affirmations du GIEC. Ce réchauffement est dû à l'accumulation dans la troposphère de la chaleur issue de la combustion des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) et/ou de la fission de l'atome réalisée dans les centrales nucléaires. En effet, les pertes en énergie de la Terre sont stables et limitées à 120W/m2 par la température constante de la tropopause (-56,5°C). Depuis des millions d'années, un équilibre approximatif entre l'apport radiatif du Soleil et ces pertes stables a abouti aux températures observées. Pour conserver cet équilibre, il convient que l'homme ne tire les énergies dont il a besoin que des rayons solaires. Il se doit d'imiter la végétation qui se nourrit grâce à l'énergie de la lumière (la photosynthèse) et rejette celle-ci lors de sa mort (reformation du dioxyde de carbone). Ce dioxyde de carbone est du « bon » dioxyde inoffensif pour le réchauffement contrairement à celui rejeté par la combustion des énergies fossiles. Quelle que soit son origine, son augmentation dans l'air ne fait que favoriser la croissance végétale naturelle et n'est pas une menace comme certains le croient en voulant l'enterrer définitivement (merci le GIEC). Les technologies modernes en plein développement permettent d'envisager des énergies uniquement issues du Soleil suffisantes pour nos besoin industriels sans aucune restriction définitive sur leurs quantités: le photovoltaïque (à améliorer), l'énergie éolienne ou hydrolienne (comme nos ancêtres), la transformation des plantes (à diversifier) ou même la dissociation solaire de l'eau (possible mais pas encore vraiment inventée à grande échelle) ... Si ces mesures peuvent ralentir et même stopper le réchauffement de la Terre, elles ne permettent pas de nous faire revenir en arrière comme le propose la solution qui va être développée ci-après . Nous avons vu que la tropopause constituait une séparation thermique entre la troposphère chauffée par le bas et la stratosphère chauffée par le haut. Cette séparation n'est pratiquement pas franchissable par l'énergie sauf sous la forme des radiations du corps noir limitées à 120W/m2. Si on capte dans la stratosphère l'énergie radiative du soleil sous forme de chaleur, celle-ci cessera de chauffer le sol et donc la troposphère refroidira. On crée ainsi un bouclier thermique qui renvoie son rayonnement au soleil avant qu'il n'atteigne le sol. On peut facilement obtenir ce résultat par un moyen simple et réalisable, loin des extravagances d'un parasol matériel lancé par des fusées. La malheureuse expérience du trou dans la couche d'ozone est riche d'enseignements. D'abord, les chlorofluorocarbones (CFC) vont facilement dans la stratosphère grâce à leur faible point d'ébullition : l'effet de distillation dans la troposphère les y conduit naturellement. Ils ont efficacement détérioré la couche d'ozone mais leur interdiction montre qu'une réapparition de l'ozone est possible. En utilisant les hydrofluorocarbones (HFC) comme CF4 dont les caractéristiques physiques sont proches mais chimiques différentes , on évite une destruction de l'ozone car la liaison C-F est la plus forte de toutes celles possibles dans cet environnement. En envoyant de n'importe où des HFC dans l'air, on introduit dans la stratosphère un gaz absorbant les rayons IR du soleil et donc un bouclier thermique efficace. La stabilité de ces molécules est de plusieurs millénaires et le seul danger semble être de ne pas en envoyer trop. La quantité nécessaire peut être évaluée par un suivi de mesures, mais de toute façon, l'effet sera long à réaliser et il convient d'en commencer rapidement l'exécution. La vision du réchauffement climatique par le GIEC est pessimiste mais cependant en deçà de la réalité qui nous attend si nous poursuivons dans les voies erronées de son analyse. Une explication alternative plus scientifique vous est proposée dans ce blog. Après lecture , un journaliste compétent a le devoir de la communiquer à son public. S'il ne le fait pas, quelles qu'en soient les raisons, il méritera pleinement l'opprobre que l'avenir lui décernera.

PS. Si vous partagez les idées de ce blog, faites-le moi savoir car cela m'encouragera à les divulguer.