Les erreurs climatiques du GIEC

En 1988 a été créé un groupe d'experts internationaux chargé d'étudier le réchauffement climatique : le GIEC (IPPC en anglais) : Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Son analyse a conduit à une explication du réchauffement climatique par l'action de gaz à effet de serre dont toute personne est aujourd'hui convaincue grâce à une répercussion journalistique digne d'un « matraquage intellectuel mondial ». Pourtant, malgré son succès, cette théorie est erronée car en contradiction , entre autre, avec le deuxième principe de la thermodynamique qui affirme que la chaleur se propage toujours spontanément du chaud vers le froid (Clausius 1850). Des gaz « à effet de serre » dont le dioxyde de carbone sont brutalement arrivés dans l'air par l'activité humaine récente et l'augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l'atmosphère depuis le milieu du XIXème siècle est incontestable et considérable. Selon le GIEC, le rayonnement IR du sol chauffé par le soleil serait capté par ces gaz et transformé en chaleur dans la troposphère, ce qui provoquerait le réchauffement climatique de la planète. De doctes calculs ont donc été effectués pour lier la concentration en gaz carbonique au réchauffement climatique observé. Aujourd'hui déjà, la réalité du réchauffement est plus importante que celle calculée et cette différence est attribuée à l'incertitude des calculs (jusqu'à quand ?). En fait, ces calculs sont faux car ne correspondant pas à la réalité du phénomène. Depuis très longtemps, la Terre système fermé (sans échange de matière avec le vide intersidéral) n'obtient son énergie vitale que par la puissance énergétique du rayonnement solaire qui l'éclaire. Un équilibre thermique se réalise entre la puissance lumineuse reçue et celle dissipée dans l'espace. Compte tenu des raisons astrologiques qui gouvernent l'énergie solaire reçue par la Terre, cet équilibre est légèrement modifié dans le temps. Si on suppose une perte constante en énergie rayonnée par la planète, c'est l'explication des variations du climat terrestre selon les périodes géologiques. L'homme moderne a fortement perturbé cet équilibre en injectant dans l'atmosphère une énergie calorifique non issue du rayonnement solaire: principalement les énergies fossiles et la chaleur due aux fissions nucléaires. Cet apport brutal de chaleur exogène depuis la moitié du XIXème siècle s'est fait de façon cumulative et a provoqué les augmentations de température observées. Avant l'invention de l'énergie nucléaire, la combustion des énergies fossiles produisait simultanément de la chaleur et du dioxyde de carbone, faisant ainsi croire aux esprits qui n'approfondissent pas leurs idées, qu'il y avait un lien de cause à effet entre ces deux constatations , alors qu'en fait, elles n'étaient que l'expression d'un même phénomène mesuré par deux moyens différents d'où leur corrélation certaine. Avec le nucléaire, la donne a changé et le réchauffement s 'est encore accéléré. Les stériles discussions entre la part du charbon et celle du nucléaire dans la production d'énergie sont inutiles car d'un point de vue réchauffement climatique, c'est « du pareil au même ». Le comble de l'inconscience revient à ceux qui enterrent le dioxyde de carbone à grands frais énergétiques, croyant ainsi comme un enfant qui à cassé un vase, qu'en cachant les morceaux on supprime les dégâts alors qu'en fait on les renforce. Les deux arguments décisifs qui rendent l'explication du GIEC impossible sont les suivants. En premier, la chaleur produite dans la troposphère par la transformation de l'énergie radiative IR issue du sol, compte tenu de la diminution de la température quand l'altitude augmente, ne peut que s'élever et non pas retourner vers un sol plus chaud pour produire un effet de serre (2ème principe de la thermodynamique ). Ce raisonnement est valable quelle que soit l'altitude où la chaleur est créée, jusqu'à ce qu'on atteigne la tropopause où la température devient constante. Cette tropopause constitue alors cet écran de matière nécessaire à l'effet de serre et renvoie vers le sol l'énergie IR correspondant à sa température de -56,5°C (120W/m2). Le deuxième argument concerne ce qui est appelé l'effet de serre par le GIEC. Des mesures complexes effectuées sur toute la Terre ont montré qu'une énergie solaire de 245 W/m2 en moyenne était reçue par le sol: cela correspond à une température du corps noir de -18°C. Comme ce n'est manifestement pas la valeur observée dans la réalité, il a été décidé sans aucun autre argument scientifique, que l'effet de serre serait la cause de cette différence. Cette affirmation sans aucune justification scientifique aurait été soupçonnée à une autre époque plus crédule d'être un « miracle » permettant la vie sur terre. En fait ce réchauffement inattendu est lié à l'effet de four provoqué par l'atmosphère qui calorifuge la chaleur issue du sol. En effet, l'atmosphère terrestre ralentit le transfert de la chaleur vers l'espace (conduction, convection, distillation) et provoque une augmentation supplémentaire de la température du sol. Ce phénomène est analogue à celui utilisé pour la conception d'un four: la source de chaleur est environnée de matériaux isolants freinant la propagation de la chaleur vers l'extérieur et augmentant ainsi la température à l'intérieur du four. L'explication du réchauffement climatique par des effets dus à des gaz de serre est donc une imposture scientifique. Une explication compatible avec les lois scientifiques connues et plus performante pour expliquer la réalité observée (température de la tropopause) vous est expliquée par l'intermédiaire de ces billets. La faire connaître et la partager devient un devoir pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique qui nous menace tous.